Selon Radio-Canada.ca, la présidente de Gaz Métro estime qu’il est possible de trouver un terrain d’entente avec les opposants et se dit prête à les rencontrer.
Une semaine après l’adoption du décret ministériel approuvant le projet de port méthanier à Lévis, les promoteurs de Rabaska montrent de l’ouverture face aux opposants.
Devant les membres de la chambre de commerce de Québec, la présidente et chef de la direction de Gaz Métro, Sophie Brochu, a déclaré croire que les groupes de pression faisaient avancer les choses.
Elle souhaite s’entretenir avec les opposants qui ont des améliorations au projet à proposer. La dirigeante de Gaz Métro dit même les voir comme des partenaires potentiels. « Ce ne sont pas des adversaires. La main tendue, c’est pour leur demander de s’approcher de nous et on va s’approcher d’eux pour trouver des solutions gagnantes », affirme Mme Brochu.
La présidente ouvre la porte à une éventuelle modification du projet. Toutefois, elle refuse de donner des exemples de modifications qu’elle serait prête à accepter, indiquant qu’elle ne négocierait pas avec les médias.
Le président de l’Association pour la protection de l’environnement de Lévis, Jacques Levasseur, accueille cette ouverture avec scepticisme. « La première chose que je rappellerais à Mme Brochu, c’est que la toute première promesse qui a été faite, c’est qu’ils ne forceraient jamais ce projet-là sur la population », soulève-t-il.
Pour lui, c’est un signe que le consortium Rabaska craint les recours judiciaires, qui débuteront sous peu, pour faire avorter le projet.
Là, Jacques Levasseur, Y commence à me tomber sur les rognons. Sortez y une autre phrase des archives, chu pu capable de l’entendre répéter ad nauseam : « …que le promotteur avait dit que ce projet là ne serait jamais forcé sur la population. » Ce projet là, plus de 70 % des gens en veulent. Il serait temps que les groupuscules d’opposants cessent de croire qu’ils parlent au nom de la population. Je ne vous ai jamais élu pour cela monsieur Levasseur. Parlez au nom de vos quelques membres, mais cessez de croire et de laisser croire que « la population » est derrière vous. Vous avez eu vos chances de faire valoir votre point de vue. Maintenant, à la niche.
Dans Québec Urbain, le billet suivant a suscité en date du 1er novembre plus de 50 réactions: qu’on arrête de prendre tous les « écolos » comme des « rêveurs », car plusieurs sont au contraire des intellectuels éclairés!! http://www.quebecurbain.qc.ca/2007/10/29/plus-grosse-manif-anti-rabaska/
Je suis bien d’accord avec vous monsieur Cazes. Ce que je repproche particulièrement aux opposants c’est de prendre tous les gens en accord avec ce projet particulier pour des abrutis qui se font passer un sapin. La plupart des opposant ont une attitude méprisante, hautaine et paternaliste envers le reste de la population qui ne comprend pas. Ils n’ont pourtant pas le monopole de la jugeotte. Cela étant dit, il n’y a rien que j’aime autant qu’une bonne discussion bien documentée et pleines d’arguments. Malheureusement, dans ce dossier comme dans trop d’autres, on assiste à des discussions de sourds. C’est déplorable. Alors que le promottteur tend une main (même si on s’entend qu’il y a là un geste de marketing), je trouve cela bien et c’est dommage que les opposants rejette le geste. Enfin, ces opposants m’apparaitrait bien plus sympatiques s’il disaient réellement leur vraie motivation, à savcoir que le projet vient troubler leur quiétude. C’est légitime. Ils ont plutôt choisi d’essayer de rallier des gens en parlant de sécurité, de santé, d’environnement, etc. C’est un peu hypocrite, surtout que pour la majorité d’entre-eux, toutes ces préoccupation sociales ne se limitent qu’au quadrilatère de Rabaska. Félicitaion à québec urbain qui sait suciter les commentaires.