Article de Natacha Gilbert. Le Peuple Lévis.
Les résidants de la rue des Mésanges ne souhaitent plus commenter la controverse du projet domiciliaire sur l’ancien terrain de golf de l’étang. Serge Lévesque, un des résidants qui s’était plaint, au départ, de cette situation, a annoncé au Peuple qu’il attendait sagement les décisions qui seront prises par les employés de la Ville de Lévis et qu’il s’en remettait à eux.
« J’ai dépensé énormément d’énergie dans cette histoire-là », a-t-il laissé tomber, ajoutant qu’il n’avait plus de temps à perdre. « La Ville de Lévis est au courant de la situation et nous attendons pour voir quelles procédures elle prendra », a-t-il souligné.
Il a toutefois mentionné au représentant du Peuple qu’un voisin avait « mis les avocats là-dedans » et qu’un arboriculteur était venu voir l’état des lieux. Il sera peut-être possible, au cours des prochains jours, de parler à ce citoyen.
Par ailleurs, M. Lévesque a soutenu que la zone tampon devait être, à la base, une zone de protection et que les arbres ne devaient pas tous être coupés. « Nous, les dix voisins, nous avions compris que le promoteur devait conserver la plupart des arbres. Et je ne pense pas qu’ils étaient tous dans la servitude d’Hydro-Québec », s’est-il contenté d’ajouter.
Le Peuple attend présentement un retour d’appel de la part d’Hydro-Québec afin d’en savoir davantage sur la servitude et sur ce qui a été effectué par les employés de l’organisation.
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