Article de Jean-François Cliche. Le Soleil.
Reproduit avec autorisation au moment de la publication.
Le rapport d’enquête et d’audience publique sur le Projet Rabaska (fichier PDF de 8 mo) est maintenant public.
Le rapport contient 20 avis et 34 recommandations. La commission a recueilli les préoccupations et opinions des participants à l’audience et elle a analysé les éléments suivants :
>> les contextes énergétique et économique du projet ;
>> les risques associés au projet ;
>> l’acceptabilité sociale du projet ;
>> les impacts sur le milieu humain ;
>> les impacts sur le milieu naturel ;
>> la surveillance environnementale et le suivi du projet proposé.
Voici ce qu’en dit le président de la commission, William-J. Cosgrove:Sur le plan énergétique, la commission constate que le projet est conforme aux orientations de la stratégie énergétique du Québec. La commission conclut que l’apport supplémentaire de gaz naturel attribuable au projet aurait des effets positifs pour les secteurs industriels et économiques du Québec en matière de stabilité d’approvisionnement, ainsi qu’en matière d’avantage relatif du prix. La commission constate aussi la contribution positive du projet sur le plan économique eu égard à ses retombées ainsi qu’à son potentiel structurant à l’échelle régionale.
« En matière de sécurité, et tenant compte de ses constats et avis touchant la planification des mesures d’urgence, la commission conclut que l’évaluation des risques du projet est recevable, conforme aux règles de l’art, et que les risques associés au projet paraissent acceptables.
« En matière d’insertion territoriale, la commission estime que les installations portuaires et riveraines du projet constitueraient une altération de la qualité paysagère de la côte de Beaumont. »
Rappelons qu’au cours de la première partie de l’audience publique, la commission a tenu 14 séances publiques à Québec et à Lévis. En deuxième partie à Saint-Henri et à Saint-Pierre de l’île d’Orléans, 20 séances publiques ont permis à la commission de recevoir 699 mémoires et 15 interventions orales de la part des personnes, des groupes, des organismes et des municipalités intéressés par ce projet.
Bravo!!! l’incohérence humaine parfois me laisse pantois !À l’ère Kyoto, c’Est un net recul ! Mais je pense qu’on vendra la plus grandre part de ce gaz aux « STATES » Bref des porteurs dEau, oups de gaz pour les « amerlock » Beurk !!!
Quelle connerie que cet antiaméricanisme primaire. Ils vous ont fait quoi ces charmants américains ? De toute façon, dans le cas qui nous intéresse, le client n’a aucune espèce d’importance. Ce qui compte, c’est la vente et le solde commercial positif. ca fait quoi que le cleint soit Américain ou Canadien ? Pensez vous que chacune des croustilles produites par Frito-Lay à Lévis est consommée localement ? Et que tous les autocars de Prévost ainsi que les avions de Bombardier sont exploités dans notre Québec. Enfin, les bateaux de la Davie sont-ils tenues de naviguer entre l’île D’Orléans et la Rive-Sud à tous jamais ? Heureusement non, et c’est ce qui fait de ces entreprises des modèles de réussite que nous admirons. Enfin, la pollution ne respecte aucune frontière. Et si les Américains peuvent brûler un peu moins de charbon et de mazout car on leur propose du gaz naturel, c’est une avancée pour l’ère Kyoto. Et un grand plus pour Lévis qui s’enrichit d’une entreprise d’envergure.
Wow les moteurs, le rapport du BAPE parle aussi d’autres sources d’énergie qui est plus dangereuse que le gaz liquifié. Sans compter les épandages abusifs de purin de cochon. En passant, on ne consomme que 10 à 15% de la production porcine et qui reçoit la pollution porcine : NOUS. de plus, il faut regarder pour avoir des sources d’énergie autre que l’électricité ou des usines nuccléaires. Lisez le rapport au complet avant de dire des conneries à la Rabat-joie.
Vous semblez avoir absolument rien compris de ce que j’ai dit…cé pas à cause qu’on a djà de la pollution qu’on va en prendre plus…et c’est pas à cause qu’une forme d’énergie est MOINS pire qu’une autre que l’on doit automatiquement la cautionner. La diversification avec le gaz naturel ne se fait pas seulement par le gaz naturel liquéfié… le canada est le 3e plus grand exportateur de gaz naturel au monde… Lisez l’étude d’impact avant de dire des conneries à la À bon port
Je ne répondrai plus à tes commentaires. Si le décret est prononcé par le gouvernement en faveur ou en défaveur du projet
Bonne idée..je crois que vous y êtes plus utile
Enfin, la pollution ne respecte aucune frontière. Et si les Américains peuvent brûler un peu moins de charbon et de mazout car on leur propose du gaz naturel. Bien justement faudrait peut-être de notre bord y voir a réduire cette dite pollution ! » c’est une avancée pour l’ère Kyoto. Et un grand plus pour Lévis qui s’enrichit d’une entreprise d’envergure » Je ne partage point ce pooint de vue !
Quelle connerie que cet antiaméricanisme primaire. Ils vous ont fait quoi ces charmants américains ? Onestdansunpayslibrenon ?!
Ouf, que de mépris mon cher Jérome. Tu as le même langage que certains animateurs de radio déchus. Que fait notre propre pays concernant les sables bitumineux ? Doit-on avoir un langage méprisant parce que l’on n’est pas sur la même longuer d’ondes.Salut !
Je tiens à vous souligner que vous êtes le premier à avoir attaqué mes propos en les comparant de façon péjorative à ceux du groupe Rabat-Joie. Je ne fais pas partie de ce groupe et je trouve déplorable que vous ayez cette attitude envers un groupe de bénévoles qui veut faire le contrepoids à un promoteur disposant de moyens importants… La seule raison qui explique mon langage méprisant est vos paroles méprisantes…
Quel plaisir de vous lire tous. Et si le Pape…excusez le BAPE avait dit à Rabat-poil…rabajoie qu’ils avaient raison…certain que le pape…scusez..le BAPE aurait eu toutes les vertues, n’est-ce-pas? Je suis certain d’obtenir de savoureuses et juteuses réponses hahaha
Mon cher Bouboule euh scuser BouBou, c’est exactement ce que font les partisans à Rabaska avec les commissaires du BAPE. Il est tout à fait normal que lorsque la réponse ne va pas dans le sens dans que l’on veut on critique un peu plus.