L’avenir de l’incinérateur analysé après un séjour en Italie

Par | 5 mai 2007 |

Article de Denis Bouchard. Le Peuple Lévis.

Depuis le vendredi 4 jusqu’au 13 mai, les conseillers municipaux Guy Dumoulin et Jean-Claude Bouchard et deux fonctionnaires municipaux visiteront cinq sites d’incinération des déchets domestiques en Italie. Un séjour européen qui pourrait signer l’arrêt de mort de l’incinérateur lévisien.

Parce que l’incinérateur de Lévis est un modèle italien datant de 1977. Des rénovations importantes y sont prévues en termes de performance et effets sur l’environnement. De plus, son entretien annuel coûte pas moins que 150 000$ par an. Pour les élus, l’intérêt est de pouvoir déterminer la rentabilité des coûts de rénovation. « Il en va de l’avenir de l’incinérateur », définit Jean-Claude Bouchard. De ce dossier brûlant, il faut savoir que cet équipement consume 28 000 tonnes de résidus comparativement au lieu d’enfouissement de Saint-Lambert qui enveloppe 44 000 tonnes annuellement.


Reproduit avec autorisation au moment de la publication.

Catégorie(s) : Environnement,  Gouvernement

À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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