Au moins neuf groupes composés d’écologistes, de militants pour la protection du patrimoine et de citoyens ont manifesté leur opposition, une fois de plus, au projet de terminal de gaz naturel liquéfié de Gaz Métro dans le secteur de Lévis-Beaumont.
Ces groupes affirment qu’il faut fermer la porte à ce type d’installation. Moins il y aura ce genre d’entreprise, plus la tentation de construire des centrales thermiques comme celle du Suroît va diminuer, soutiennent-ils. Les groupes d’opposition à ces projets ont décidé d’unir leurs efforts, explique Gaston Cadrin, coordonnateur de cette initiative et porte-parole du Groupe d’initiatives et de recherches appliquées au milieu (GIRAM) :
« Là, il y a une solidarité qui s’établit entre les groupes qui combattent le Suroît, parce qu’ils savent très bien, ces groupes-là qui combattent la production d’électricité à partir des centrales thermiques fonctionnant au gaz naturel, que si on rentre le gaz naturel soit par le transport maritime au Québec, puis qu’on investit 700 millions à 1 milliard de dollars, que ce soit à Cacouna ou à Beaumont, ils savent très bien qu’on va y aller, par la suite, sur une amplification des projets dans le gaz naturel. »
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