Terminé le bar ouvert dans le stationnement face au Corsaire

Par | 22 janvier 2015 |

Article de Pierre Duquet. Le Peuple Lévis.

La Ville de Lévis a adopté une convention de collaboration avec la Société des traversiers du Québec (STQ) concernant le stationnement situé entre l’ancien bureau de poste et la gare intermodale de la rue Saint-Laurent. Elle pourra y appliquer ses règlements municipaux.

Cette convention a été rendue nécessaire parce que le terrain sur lequel est aménagé le stationnement chevauche à la fois la propriété de la STQ et celle de la Ville. « Il était donc impossible pour chacune des parties d’y établir une saine gestion du stationnement et d’en règlementer l’utilisation », peut-on lire dans le document d’aide à la décision de la Ville. Cette absence de réglementation a eu pour effet, jusqu’ici, de permettre aux usagers du traversier de s’y garer pour une longue période de temps en monopolisant ainsi des cases de stationnement que les clients des commerces avoisinants ne pouvaient utiliser. Les commerçants ont d’ailleurs fait savoir à la Ville qu’ils souhaitaient que le temps de stationnement dans ces cases soit limité.

L’entente à intervenir avec la STQ et la Ville de Lévis prévoit que cette dernière pourra utiliser le terrain uniquement à des fins de stationnement; que la STQ va lui confier la gestion complète du stationnement afin que la Ville puisse ainsi adopter tous les règlements municipaux qui sont nécessaires à son bon fonctionnement.

Le document d’aide à la décision indique qu’une fois l’entente conclue, le comité de circulation de la Ville va analyser les besoins du secteur et proposer des paramètres de gestion du stationnement.


Reproduit avec autorisation au moment de la publication sur ce blogue.

Catégorie(s) : Transports
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À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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