Article de Annie Morin. Le Soleil.
(Montréal) Le CN travaillait avec des estimations très préliminaires quand il s’est engagé dans le programme d’entretien prévoyant une nouvelle peinture pour le pont de Québec. Et c’est pour « se protéger » de tout éventuel dépassement de coûts, un danger « réel », que l’entreprise a limité ses interventions à 60 millions $ sur 10 ans.
Le président-directeur général du CN, Claude Mongeau, a témoigné longuement, lundi, au procès civil intenté après la fin précipitée des travaux de peinture du pont, en 2005. Le gouvernement fédéral veut forcer la compagnie ferroviaire, propriétaire de la structure, à compléter le chantier ou, à tout le moins, récupérer l’argent public qui y a été investi.
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