L’état du pont de Québec fait peur à un expert

Par | 23 août 2018 |

Article de Taïeb Moalla. Le Journal de Québec.

Le pont de Québec ne résisterait probablement pas à un gros tremblement de terre, à une tempête de verglas ou à un déraillement de train, selon l’ingénieur à la retraite et architecte naval Jean Hémond.

« Le pont est en fin de vie. Combien il lui reste de temps ? On ne le sait pas. S’il arrive une catastrophe comme une tempête de verglas, un tremblement de terre de force 7 ou un accident de train ou de bateau, il est fort probable que le pont n’existera plus », a soutenu M. Hémond.

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Catégorie(s) : Gouvernement,  Transports
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À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

4 commentaire sur “L’état du pont de Québec fait peur à un expert

  1. Yves Gagné

    Le temps de faire le 3e lien, ce pont sera réservé pour les cyclistes et les marcheurs. Facile de dire qu’il est en bon état. Il a déjà 100 ans et rapiécé de toute part. Le peinturer cacherait les défauts.

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  2. Luc

    En plus d’être réservé au transports actifs, il devrait aussi servir au tourisme et aussi en priorité au transport en commun une fois le troisième lien réalisé.

    Pour mettre en priorité le transport en commun, il faudrait en retrancher 2 voies aux automobilistes afin d’Avoir des voies dédiées. Et une fois que ce serait fait, je propose que les deux voies restantes deviennent payantes pour les automobilistes. Ce péage pourrait par la suite financer les réparations/peinture du pont qui deviendrait ainsi autosuffisant et à l’abris des sautes d’humeur du CN et des gouvernements qui se relancent la balle continuellement.

    Ainsi, on rétabli l’équité dans l’Agglomération. Un lien non payant à l‘est, un lien non payant à l’ouest et finalement, un pont utilitaire payant pour les automobilistes à l’ouest réservé prioritairement aux loisirs et transports en commun/actifs.

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