Projet JAZZ de Kevlar  » Pas besoin de terrain supplémentaire « 

Par | 12 juillet 2005 |

Article de Jean-Pierre D’Auteuil. Le Journal de Lévis.

Le président du Groupe Kevlar, René Bellerive, assure qu’il n’a pas besoin de terrain supplémentaire et que l’espace actuel à l’îlot Saint-Gabriel est suffisant pour le passage des camions de pompiers.

Il confirme donc que son groupe n’a pas besoin de négocier de servitude avec la CS des Navigateurs. « On a commencé à en parler, mais nous n’allons pas plus loin. On va s’arranger avec le morceau de terrain qu’on a. Reste maintenant à compléter la transaction concernant l’échange d’une partie de terrain de gré à gré avec la Commission scolaire. Ces négociations là ont été entreprises au printemps 2004 », a-t-il ajouté. René Bellerive jure que son projet est conforme à la réglementation municipale ainsi qu’au zonage prévu. Le président de Kevlar ajoute que les plans et devis seront déposés sous peu à la Ville de Lévis en vue de l’obtention du permis de construction du projet JAZZ, un bâtiment de 190 logements pour personnes retraitées.

« Après quoi, nous serons prêts à débuter la construction ». Le Groupe Kevlar a apporté certains correctifs pour satisfaire les services d’urbanisme et d’architecture de la Ville de Lévis.

Enfin, malgré les décisions du Conseil de Ville, René Bellerive précise qu’il n’est pas question qu’il participe aux discussions d’un comité de relocalisation du projet JAZZ vers le carré Saint-Louis. « Le terrain de l’îlot nous appartient et nous allons poursuivre nos démarches comme convenu. On ne veut pas aller à l’encontre des citoyens, mais actuellement, peu importe ce qu’on fera, on ne fera pas l’unanimité », estime René Bellerive.


Reproduit avec autorisation.

Catégorie(s) : Habitation

À propos de Pascal Petitclerc

Originaire du quartier Saint-Sauveur dans la basse-ville de Québec, Pascal a depuis longtemps été intéressé par l'urbanisme et l'aménagement du territoire. Il a créé Lévis Urbain en 2003, en s'inspirant de Québec Urbain, pour palier à certaines lacunes de l’époque en ce qui a trait à l’information véhiculé sur l’urbanisme, le transport en commun, l’environnement, les projets immobiliers et commerciaux et l’aménagement du territoire dans les médias régionaux du Québec métropolitain.

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