Nouveau projet résidentiel intergénérationnel à Lévis

Par | 7 juillet 2024 |

Article de Xavier Nicole. Le Journal de Lévis.

Le 18 juin dernier marquait le début des travaux du projet résidentiel intergénérationnel « innovant et inclusif » à Lévis, le Vital, situé dans le quartier Umano.

Dirigé par l’entrepreneur général, CONCREA, ce nouveau complexe, qui comprendra 230 logements sur 11 étages, le Vital sera à l’intersection de la rue Bizet et du boulevard Étienne-Dallaire. Il s’agira d’un complexe intergénérationnel destiné principalement à la communauté étudiante de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) – Campus de Lévis.

Le Vital proposera une variété d’appartements tout inclus à partir d’environ 900 $ par mois, du studio au 4 ½. Le projet devrait accueillir ses premiers résidents à l’été 2025.

« Le projet se distinguera par sa capacité à accueillir des résidents de tous âges, principalement des étudiants de l’UQAR et des jeunes professionnels ainsi que des retraités actifs qui souhaiteront s’entremêler avec les différentes générations. Son offre distinctive de micrologements fonctionnels et optimisés se différenciera du marché. En effet, les petites unités représentent près de 80% du projet », a conclu Tomy Martineau, promoteur immobilier.


Reproduit avec autorisation.

Troisième lien : peu de ponts dans le monde bâtis pour « la sécurité économique »

Par | 7 juillet 2024 |

Article de Stéphanie Martin. Le Journal de Québec.

De mémoire d’experts, les ponts bâtis pour la seule raison de la «sécurité économique» sont rares dans le monde et les études tendent à démontrer qu’il vaut mieux investir dans la pérennité des liens existants.

Le Journal a demandé à des experts de ces questions s’il était pratique courante dans le monde de bâtir des ponts pour assurer la «sécurité économique», comme souhaite le faire le gouvernement Legault avec le troisième lien.

Selon les réponses reçues, les exemples sont très rares. Les spécialistes indiquent que la construction de ponts est généralement liée à des questions de circulation. « Tous les ponts sont construits pour améliorer la circulation, ce qui devrait contribuer indirectement au développement de l’économie. Plus le pont amène à rendre accessible un territoire qui ne l’était pas, plus il aura un impact important sur l’économie. La région de Québec n’est pas une zone inaccessible, même en l’absence du pont Pierre-Laporte. On peut donc s’attendre à ce qu’un nouveau pont ait un impact faible, même sur la sécurité économique », estime Jean-Philippe Meloche, professeur à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage à l’Université de Montréal.

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Si on en prend soin, le pont de Québec est bon pour encore 100 ans : merci, Yvon Charest!

Par | 6 juillet 2024 |

Article de Steeve Lavoie. Le Journal de Québec.

La saga du pont de Québec, l’un de nos plus grands joyaux, s’est finalement terminée après 25 années de tergiversations. Le négociateur, Yvon Charest, nommé en 2019 pour gérer les pourparlers entre le CN et le gouvernement fédéral, ne s’attendait sûrement pas à ce que son mandat s’étende sur cinq ans. À ce moment, nous croyions que nous étions proches d’une entente. Une chose est certaine aujourd’hui, tout le monde est satisfait que nous puissions tourner la page et consolider cette infrastructure économique stratégique.

Je souhaite souligner la vision de M. Charest ainsi que de l’ensemble des personnes qui ont rendu cette entente possible: leur acharnement et leur résilience démontrent que lorsque l’on croit en quelque chose, il faut y croire jusqu’au bout. Avec un entretien adéquat, le pont de Québec est bon pour encore près de 100 ans. C’est significatif pour notre mobilité et notre économie. Vouloir un nouveau lien entre les deux rives est une chose, mais entretenir ceux qui existent et qui rendent de précieux services à la population en est une autre.

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=> Vous pouvez aussi consulter ma série d’articles sur le Pont de Québec.

À la découverte de quartiers lévisiens à la marche

Par | 28 avril 2024 |

Article de Érick Deschênes. Le Journal de Lévis.

Devant le succès remporté en mai 2023 avec ses deux premières promenades de Jane, le Collectif Virage, en collaboration avec le Centre d’écologie urbaine, organise cette année deux nouvelles activités de ce type, qui se dérouleront les 4 et 5 mai prochains.

Rappelons d’emblée que les promenades de Jane sont des marches guidées gratuites, inspirées de l’héritage de Jane Jacobs « qui visent à familiariser les citoyens avec les lieux qu’ils habitent et fréquentent, ainsi qu’à partager leurs connaissances et leurs perspectives ».

Le Collectif Virage proposera d’abord une marche thématique, les 4 et 5 mai de 10h à 12h, dans le Vieux-Lauzon. Au cours de cette promenade, l’animateur, membre de la Société d’histoire de Lévis, racontera l’histoire de Guillaume Couture, premier colon à s’établir sur la rive sud en 1647, ainsi que des bâtiments patrimoniaux, tant institutionnels et commerciaux que résidentiels, et des deux chapelles de procession se trouvant au cœur du quartier.

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Retour vers le passé : avril en 2019, 2014, 2012, 2009 et 2004

Par | 22 avril 2024 |

Fouillons un peu dans le passé de la Ville de Lévis. Quels étaient les sujets de conversation en avril de plusieurs années.

Commençons par un saut de cinq années.

2019
En 2019, plusieurs s’interrogeaient sur l’état de dégradation du pont Pierre-Laporte : le pont Pierre-Laporte se dégrade.

2014
En 2014, il était encore beaucoup question du 3e lien entre Lévis et Québec puisque c’est en mars 2014 que le sujet était revenu au-devant de la scène dans la région.

Un article du Journal de Québec sur une faille qui nuirait à la construction d’un tunnel entre Québec et Lévis avait fait grand bruit.

Cet article avait fait beaucoup réagir dans la région et un ingénieur d’expérience avait même pris la peine de contacter Lévis Urbain pour donner son opinion sur le sujet : Tunnel Québec-Lévis : réalisable malgré la faille.

Comme autre sujet, il était également question du démantèlement du parc de maisons mobiles à Saint-Nicolas : maisons mobiles à Saint-Nicolas : de l’aide, mais pas de terrains pour les propriétaires déplacés.

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Lévis promet de « stopper l’hémorragie du transport collectif vers l’automobile »

Par | 20 avril 2024 |

Article de Sébastien Tanguay. Le Devoir.

Dans sa vision de la mobilité pour la prochaine décennie, la Ville de Lévis mise sur l’élargissement de ses principaux axes routiers et sur l’aménagement d’un nombre encore indéterminé de voies réservées pour « stopper l’hémorragie du transport collectif vers l’automobile. »

Devant une croissance démographique exponentielle et une congestion de plus en plus irritante pour sa population, le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, promet de prendre à bras-le-corps le dossier du transport sur son territoire.

Au cours des 10 prochaines années, Lévis n’aura rien à envier à Montréal en termes de cônes orange sur ses routes. Les chantiers promettent de pousser aux quatre coins de la ville : à l’embouchure des ponts, sur les principaux axes qui traversent Lévis du nord au sud et d’est en ouest, et sur l’autoroute 20 promise à passer à trois voies de chaque côté.

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Lévis et le CN toujours loin d’une entente

Par | 27 mars 2024 |

Article de Érick Deschênes. Le Journal de Lévis.

Face à une bonne dizaine de citoyens présents lors de la séance ordinaire du conseil municipal du 25 mars pour réclamer, de plus belle, l’abolition des sifflets de train à Charny, le maire de Lévis, Gilles Lehouillier, a affirmé être encore loin d’une entente avec le Canadien National (CN).

Depuis la fin des années 1990, les sifflets de train irritent les citoyens de Charny. L’abolition de ceux-ci est un dossier qui traine depuis 2013, alors qu’à la suite de demandes citoyennes, l’administration Lehouillier s’était penchée sur le dossier afin d’atténuer ou d’abolir l’usage des sifflets de train en plein cœur de Charny.

À la suite du dépôt de deux pétitions, en 2014 et en 2020, la Ville de Lévis avait entamé, en novembre 2020, des démarches pour que les trains du CN cessent de siffler lors de leurs passages sur quatre traverses de ce quartier, situées sur les avenues des Églises et des Générations, le chemin de Charny et la rue de la Traverse.

S’inspirer de Sherbrooke
Maintenant, en 2024, avec le dossier bloqué, de nombreux citoyens ont pris la parole lors de la dernière séance du conseil municipal de la Ville de Lévis pour interroger le maire à ce sujet.

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Le projet de transformation de l’église de Pintendre sur la glace

Par | 23 mars 2024 |

Article de Érick Deschênes. Le Journal de Lévis.

Rien ne se passe comme le prévoyait la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis et le groupe de citoyens qui désirait mettre la main sur l’église de Pintendre afin de conserver le temple dans le paysage du quartier lévisien. En raison de délais pour l’approbation de la transaction par l’archidiocèse de Québec, les travaux de réaménagement de l’édifice ne sont toujours pas lancés.

Rappelons qu’à la fin de 2023, le Journal dévoilait que la paroisse Saint-Joseph-de-Lévis, qui veut se départir de l’église de Pintendre considéré comme un «bien excédentaire», avait trouvé une solution pour assurer l’avenir du site.

Après des consultations avec le milieu, l’organisme lévisien avait décidé de vendre l’église à une compagnie formée de quatre familles de Pintendre. Par contre, la paroisse allait rester actionnaire de l’église, tout en déléguant sa gestion à la corporation.

Pour répondre à l’augmentation du nombre d’élèves fréquentant l’école primaire des Moussaillons, située à proximité de l’église, les investisseurs ont prévu détruire la sacristie pour y aménager un nouveau bâtiment plus moderne accueillant six classes. Quant à elle, la nef de l’église doit être désacralisée pour devenir une salle communautaire à location, futur espace qui serait autant utilisé par les élèves de l’École des Moussaillons que la paroisse pour ses messes à Pintendre.

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