Archives mensuelles : juillet 2024

Le quartier UMANO à Lévis poursuit la cadence, malgré une conjoncture économique peu favorable

Par | 20 juillet 2024 |

Article de Diane Tremblay. Le Journal de Québec.

Cinq ans après la première pelletée de terre, le Groupe CSB maintient la cadence du projet UMANO à Lévis, malgré une conjoncture économique peu favorable.

Le président de Groupe CSB, Stephen Boutin, a dressé mardi après-midi un bilan positif des réalisations de la dernière année du projet UMANO.

« On arrive à près de 45% de ce qu’on avait planifié en construction pour le projet UMANO », a dit M. Boutin.

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Retour vers le passé : juillet en 2019 et 2014

Par | 14 juillet 2024 |

L’actualité n’est pas la plus foisonnante durant le mois de juillet et il n’a pas été facile pour moi de dénicher quelque chose digne de mention s’étant passé durant le mois de juillet dans les dernières années à Lévis.

En 2019, la « folie » du 3e lien battait son plein et il en était encore question en juillet. De retour d’une mission en France, le maire de Lévis en avait profité pour s’inspirer de l’exemple du pont de Normandie. Le maire de Lévis avait évoqué les nombreuses similitudes entre le projet de 3e lien et le pont à haubans de Normandie qui enjambe l’estuaire de la Seine, au Havre, et qui a été construit en 1995 afin de décongestionner le pont existant de Tancarville.

Détails dans cet article : Lehouillier s’inspire du pont de Normandie pour justifier la construction du 3e lien.

En 2014, on évoquait la possibilité que le secteur de la Traverse de Lévis puisse accueillir des navires de croisières dès 2016 quand les travaux de rénovations seraient terminés. On connait la suite. On ne peut pas dire que les navires ont afflués à Lévis depuis ce temps. Néanmoins, Lévis a accueilli le 1er octobre 2017 son premier bateau de croisière international.

Détails dans cet article : Premier navire de croisière : journée historique au quai Paquet.

Aréna André Lacroix à Lévis : près d’un an de retard pour les travaux

Par | 13 juillet 2024 |

Article de Stéphanie Martin. Le Journal de Québec.

Les travaux prévus à l’aréna André Lacroix, à Lévis, débuteront avec près d’un an de retard et commenceront au début de l’été 2025.

À l’automne 2022, le maire de Lévis avait annoncé un investissement de 3 millions $ pour une cure de jeunesse pour l’aréna André Lacroix. Il avait fait cette annonce après la parution dans Le Journal d’un article dans lequel l’ancien hockeyeur déplorait l’état de l’aréna qui porte son nom.

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Lévis se fait encore dire non par Québec pour son aréna

Par | 7 juillet 2024 |

La demande de la Ville de Lévis au Programme d’aide financière aux infrastructures de loisirs, de sports et de plein air (PAFIRSPA) du gouvernement du Québec a encore une fois été rejetée. Ce fut également le cas en 2019 et 2022.

Lévis a demandé au gouvernement du Québec une subvention de 20 millions $ pour moderniser son aréna et y ajouter une patinoire, afin de répondre à la demande de temps de glace sur la Rive-Sud. Le projet de rénovation est estimé à environ 40 millions $.

L’agrandissement de l’aréna de Lévis est un projet important pour le maire de Lévis Gilles Lehouillier depuis plusieurs années. Il en parle régulièrement lors de ses conférences de presse et dans ses discours au conseil municipal. Lévis l’a d’ailleurs placé en tête de ses dernières demandes budgétaires et électorales.

Selon le journal Le Soleil, par écrit, le maire Lehouillier s’est dit « très déçu » que le projet d’agrandissement n’ait pas été retenu une fois de plus. Il répondra plus en détail lundi, en marge du conseil municipal.

=> Sur le même sujet : Lévis s’essaye pour une troisième fois en quatre ans pour mettre à niveau son aréna.

Nouveau projet résidentiel intergénérationnel à Lévis

Par | 7 juillet 2024 |

Article de Xavier Nicole. Le Journal de Lévis.

Le 18 juin dernier marquait le début des travaux du projet résidentiel intergénérationnel « innovant et inclusif » à Lévis, le Vital, situé dans le quartier Umano.

Dirigé par l’entrepreneur général, CONCREA, ce nouveau complexe, qui comprendra 230 logements sur 11 étages, le Vital sera à l’intersection de la rue Bizet et du boulevard Étienne-Dallaire. Il s’agira d’un complexe intergénérationnel destiné principalement à la communauté étudiante de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) – Campus de Lévis.

Le Vital proposera une variété d’appartements tout inclus à partir d’environ 900 $ par mois, du studio au 4 ½. Le projet devrait accueillir ses premiers résidents à l’été 2025.

« Le projet se distinguera par sa capacité à accueillir des résidents de tous âges, principalement des étudiants de l’UQAR et des jeunes professionnels ainsi que des retraités actifs qui souhaiteront s’entremêler avec les différentes générations. Son offre distinctive de micrologements fonctionnels et optimisés se différenciera du marché. En effet, les petites unités représentent près de 80% du projet », a conclu Tomy Martineau, promoteur immobilier.


Reproduit avec autorisation.

Troisième lien : peu de ponts dans le monde bâtis pour « la sécurité économique »

Par | 7 juillet 2024 |

Article de Stéphanie Martin. Le Journal de Québec.

De mémoire d’experts, les ponts bâtis pour la seule raison de la «sécurité économique» sont rares dans le monde et les études tendent à démontrer qu’il vaut mieux investir dans la pérennité des liens existants.

Le Journal a demandé à des experts de ces questions s’il était pratique courante dans le monde de bâtir des ponts pour assurer la «sécurité économique», comme souhaite le faire le gouvernement Legault avec le troisième lien.

Selon les réponses reçues, les exemples sont très rares. Les spécialistes indiquent que la construction de ponts est généralement liée à des questions de circulation. « Tous les ponts sont construits pour améliorer la circulation, ce qui devrait contribuer indirectement au développement de l’économie. Plus le pont amène à rendre accessible un territoire qui ne l’était pas, plus il aura un impact important sur l’économie. La région de Québec n’est pas une zone inaccessible, même en l’absence du pont Pierre-Laporte. On peut donc s’attendre à ce qu’un nouveau pont ait un impact faible, même sur la sécurité économique », estime Jean-Philippe Meloche, professeur à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage à l’Université de Montréal.

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Si on en prend soin, le pont de Québec est bon pour encore 100 ans : merci, Yvon Charest!

Par | 6 juillet 2024 |

Article de Steeve Lavoie. Le Journal de Québec.

La saga du pont de Québec, l’un de nos plus grands joyaux, s’est finalement terminée après 25 années de tergiversations. Le négociateur, Yvon Charest, nommé en 2019 pour gérer les pourparlers entre le CN et le gouvernement fédéral, ne s’attendait sûrement pas à ce que son mandat s’étende sur cinq ans. À ce moment, nous croyions que nous étions proches d’une entente. Une chose est certaine aujourd’hui, tout le monde est satisfait que nous puissions tourner la page et consolider cette infrastructure économique stratégique.

Je souhaite souligner la vision de M. Charest ainsi que de l’ensemble des personnes qui ont rendu cette entente possible: leur acharnement et leur résilience démontrent que lorsque l’on croit en quelque chose, il faut y croire jusqu’au bout. Avec un entretien adéquat, le pont de Québec est bon pour encore près de 100 ans. C’est significatif pour notre mobilité et notre économie. Vouloir un nouveau lien entre les deux rives est une chose, mais entretenir ceux qui existent et qui rendent de précieux services à la population en est une autre.

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=> Vous pouvez aussi consulter ma série d’articles sur le Pont de Québec.